Canonical (Ubuntu) utilise sa marque contre un site critique

Comme le ferait des éditeurs de logiciels propriétaires, l'éditeur de la distribution Linux Ubuntu a tenté d'utiliser ses droits de propriété intellectuelle pour faire taire un site internet critiquant de potentielles atteintes à...

La fin d'AdBlock ? Google prend le contrôle exclusif des extensions Chrome

Officiellement pour des raisons de sécurité, mais officieusement également pour s'assurer la main-mise sur l'environnement, Google a décidé de bannir à partir du mois de janvier toute extension pour Chrome qui ne sera pas validée et...

IBM vendra votre profil psychologique créé à partir de Twitter

IBM développe actuellement un outil qui lui permet d'établir un profil psychologique des utilisateurs de Twitter, en sondant les profondeurs de l'âme à travers les messages de 140 caractères publiés par les internautes.

Ason Technology expose son panneau lumineux OLED multi couches à haute performance

L'entreprise Ason Technology Co Ltd exposait pour la première fois son panneau lumineux OLED [1] composé d'un assemblage de 5 couches électroluminescentes durant la FPD International 2013 [2] qui s'est déroulé à Yokohama du 23 au 25 octobre.

Un projet européen sur l'optimisation des centres de données cloud

Le projet européen CACTOS, lancé en octobre 2013, réunit des centres de compétences en informatique, dont notamment le Centre de recherche en informatique de Karlsruhe (FZI - Bade-Wurtemberg),

jeudi 31 octobre 2013

Le premier distributeur automatique de bitcoins entre en service au Canada



C'est le premier appareil du genre. Robocoin permet de créditer son compte en bitcoins, de retirer des dollars canadiens ou de payer des achats via son smartphone.

Les DAB, ou distributeurs automatiques de billets, tout le monde connaît. Mais un petit nouveau vient de faire son apparition dans un café de Vancouver, au Canada. Ce nouvel appareil, mis en service le 29 octobre 2013 permet aux clients de recharger leur compte libellé en bitcoins avec des dollars canadiens ou de payer leurs consommations avec cette monnaie virtuelle en passant par leur smartphone.
Pour effectuer une transaction, le titulaire d’un compte en bitcoins devra s’identifier par un contrôle biométrique, dans ce cas en posant sa main sur la machine. Le distributeur imprime alors un ticket sur lequel figure un QR code que l’utilisateur doit réintroduire dans la machine. Celle-ci envoie alors la somme sur le compte bitcoin de la personne. Découvrez le fonctionnement de ce distributeur grâce à la vidéo ci-dessous.
Ce DAB permet aussi d'échanger des bitcoins contre des dollars canadiens et inversement. Mais pour éviter le blanchiment d’argent, « les transactions quotidiennes ne pourront pas dépasser les 3 000 dollars canadiens », assure Mitchell Demeter, l’un des fondateurs de Robocoin – la société qui commercialise ces DAB – au site Wired.
Enfin la machine permet de régler des achats en bitcoins en passant son smartphone devant la borne, comme pour un paiement sans contact. A Vancouver, les bitcoins sont acceptés dans une quinzaine de magasins.
S’il va encore falloir attendre un moment avant de voir un distribteur de bitcoins arriver en France, sur son blog, Robocoin assure avoir reçu « des demandes d'une vingtaine de pays, tels que l'Australie, la République tchèque, le Kenya, les Philippines et la Thaïlande ».

William Lowe, le créateur du PC IBM est mort

En 1981, le premier PC d’IBM était le modèle 5150. Il pouvait se brancher à une simple télévision domestique et était animé par le système d'exploitation de MS-Dos créé par Bill Gates et Paul Allen, les deux jeunes patrons d'une petite société appelée Micro-Soft... Ce Personal Computer (ou PC) était plus puissant que les mastodontes, occupant 1.000 m² et monopolisant le travail de 60 techniciens, qu'IBM avait créés 20 ans plus tôt. Il allait tout bonnement faire rentrer l’informatique dans les foyers. © IBM
Le créateur du tout premier PC IBM est mort samedi 19 octobre, d’une crise cardiaque. William Lowe avait mené une véritable révolution culturelle chez le géant de l'informatique en créant une machine dont les composants venaient de fournisseurs extérieurs à IBM.

Le monde de l'informatique est en deuil. William Lowe, le créateur du tout premier PC IBM est mort le samedi 19 octobre d’une crise cardiaque à l’âge 72 ans, dans l’Illinois (États-Unis). Un décès qui n’a été ébruité par sa fille que dernièrement au New York Times. C’est en 1962, directement après le lycée, que William Lowe a été engagé par IBM en tant qu'ingénieur chargé des tests de produits. Alors que des entreprises comme Apple ou encore Commodore International commençaient à vendre des ordinateurs personnels, IBM s’est intéressé à ce marché à la fin des années 1970. Toutefois, le géant de l’informatique avait pour habitude de développer et de construire lui-même l’ensemble des composants nécessaires à la création d’une machine. C’est pourquoi le sujet avait été abordé avec une grande inertie pour finalement tomber dans l'oubli.

Il a fallu attendre 1980 pour que William Lowe vienne révolutionner cette culture « maison » en se donnant comme défi de monter une équipe pour créer un ordinateur personnel en seulement un an. Pari gagné, puisqu’à la grande surprise des dirigeants de l’époque, le tout premier Personal Computer (PC), ou ordinateur personnel, est né le 12 août 1981. Pour parvenir à créer cette machine dans les délais, là encore, William Lowe avait bouleversé les habitudes du constructeur en allant chercher des composants provenant d’autres fournisseurs et en les assemblant.

Les débuts de Microsoft, puis des PC compatibles

Baptisé 5150, ce micro-ordinateur était doté d'un processeur Intel 8088 cadencé à 4,77 MHz, épaulé de 16 Ko de Ram extensibles à 255 Ko. Il était animé par MS-Dos 1.0, un système d’exploitation déniché chez une toute petite société du nom de Micro-Soft. Le 5150 coûtait à l’époque 1.565 dollars sans écran, soit l’équivalent aujourd’hui de plus de 3.200 euros. Avec ce PC, la marque IBM s’est retrouvée propulsée pour la première fois de son histoire dans la grande distribution.

C’est également ce PC IBM qui a permis à Microsoft de devenir en quelques années un des géants de l’informatique. L’éditeur n’a, en effet, jamais passé d’accord d’exclusivité avec IBM, ce qui permettait de répandre le système d’exploitation sur n’importe quelle machine compatible. C’est ce qui fit également la fortune de constructeurs de PC compatibles IBM, comme Compaq et Dell. Après avoir été président de la division PC durant trois ans, Lowe a quitté IBM en 1988 pour devenir vice-président chez Xerox. En 1991, il a changé de domaine, en entrant chez le constructeur d’avions privés Gulfstream Aerospace.

Tablettes: Samsung se rapproche toujours plus d'Apple


Apple a une fois de plus concédé du terrain sur le marché des tablettes au troisième trimestre. La concurrence toujours plus forte, couplée à la forte progression de Samsung, expliquent cette tendance.

Depuis deux trimestres, Apple voit ses parts de marché sur le marché des tablettes se réduire comme peau de chagrin. Globalement, la croissance a encore ralenti au troisième trimestre, dans un marché toujours plus fragmenté. Une concurrence qui pèse fortement sur les parts de la firme de Cupertino, qui n'ont jamais été aussi basses depuis le lancement du premier iPad, selon des estimations du cabinet de recherche IDC.
Au total 47,6 millions de tablettes ont été vendues dans le monde au troisième trimestre, soit une progression de 36,7% sur un an. La hausse atteignait encore 59,6% au deuxième trimestre et 142,4% au premier. Apple reste numéro un sur ce marché qu'il avait créé en lançant l'iPad en 2010. Avec seulement 14,1 millions d'unités vendues, sa part de marché tombe toutefois à 29,6%, "sa part la plus basse à cette date", selon IDC. Elle était encore de 32,4% au deuxième trimestre et de 40,2% il y a un an.
Samsung comme seul concurrent
Le numéro deux, le sud-coréen Samsung, continue en revanche de progresser avec 9,7 millions de tablettes vendues et 20,4% du marché au troisième trimestre, contre 18% au deuxième et 12,4% il y a un an. IDC impute le ralentissement de la croissance d'Apple à l'absence de nouveaux iPad ces deux derniers trimestres. "Toutefois, avec le nouvel iPad Air le 1er novembre et l'iPad mini rafraîchi avec un (écran) retina prévu plus tard en novembre, IDC s'attend à ce qu'Apple ait une croissance robuste de ses ventes au quatrième trimestre", assure-t-il.

>> Lire aussi: iPad Air et iPad Mini: Apple préfère la marge aux volumes
Le taïwanais Asus, qui fabrique la Nexus 7 de Google, arrive en troisième position avec 7,4% du marché, suivi par le chinois Lenovo (4,8%) et un autre taïwanais, Acer (2,5%).
IDC note que plus d'un tiers (35,3%) des ventes de tablettes sont désormais réalisées par des fabricants en dehors de son "top 5". Parmi eux figurent des grands noms comme Amazon, Microsoft, HP ou Dell, mais aussi des fabricants moins connus vendant souvent des produits sans marque "à ultra bas prix" utilisant le système d'exploitation de Google, Android, dont Samsung est aussi un représentant. "La croissance d'Android dans les tablettes a été étourdissante, mais les ventes à elles seules ne garantiront pas le succès à long terme", prévient Tom Mainelli, un analyste d'IDC, qui relève que beaucoup de ces produits bas de gamme "utilisent des composants bon marché et des versions d'Android non approuvées par Google, ce qui peut provoquer l'insatisfaction des consommateurs, un usage limité, et peu d'engagement dans l'écosystème" Android.


Android 4.4 : l'OS parfait pour l'entrée de gamme ?

Si en début de semaine on apprenait, par la voix du site coréen ETNews que la prochaine version d’Android pourrait modifier fondamentalement l’écosystème des Google TV, ce serait également le cas des smartphones d’entrée de gamme et des accessoires connectés.

En effet, d’après les informations d’Amir Efrati, ancien journaliste du Wall Street Journal, qui aurait eu accès aux fonctionnalités d’Android 4.4, également baptisé KitKat, la prochaine version de l’OS mobile de Google favoriserait grandement les appareils avec peu de mémoire RAM. Ainsi, Android KitKat permettrait d’optimiser la mémoire pour les appareils disposant de moins de 500 Mo de RAM, essentiellement des smartphones d’entrée de gamme ou datant de plusieurs années.
Cette optimisation de la mémoire pourrait être, pour Google, une manière d’aider les constructeurs à défragmenter le parc Android. Début octobre, la version 4.1 de l’OS de Google, présentée à l’été 2012, était installée sur 36,5 % des smartphones Android alors que la dernière version, disponible depuis cet été, Android 4.2, n’équipait que 1,5 % des appareils. Android KitKat pourrait ainsi permettre de donner une seconde vie aux anciens smartphones Android mais également permettre aux smartphones d’entrée de gamme d’accroître leur durée de vie en les mettant à jour.
Par ailleurs, la prochaine version du système de Google. « D’après le document confidentiel, KitKat serait compatible avec trois nouveaux types de capteurs : les vecteurs de rotation géomagnétique, les détecteurs de pas et les compteurs de pas », écrit le journaliste. Si ces différents capteurs pourraient être disponibles sur la future montre connectée de Google, la Nexus Gem, a priori elle-même équipée d’Android, ils pourraient également être intégrés directement à un smartphone afin de se passer d’accessoire connecté.
Android 4.4 devrait être dévoilé prochainement en même temps à l’occasion de l’annonce du Nexus 5. La montre connectée de Google pourrait quant à elle entrer en production dans les prochains mois.

Facebook de moins en moins fréquenté par les adolescents

Le PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, peut se féliciter du succès publicitaire de son site.

Le réseau social a reconnu mercredi que de moins en moins de jeunes utilisateurs fréquentaient son site, sans publier de chiffre précis. De quoi refroidir l'enthousiasme de la Bourse de New-York, où l'action Facebook a perdu 0,71%.

Le réseau en ligne Facebook a admis pour la première fois mercredi une baisse d'engagement chez ses plus jeunes utilisateurs, jetant une ombre sur un bon troisième trimestre qui confirme ses progrès dans la publicité mobile. "L'usage de Facebook chez les adolescents américains a été dans l'ensemble stable entre le deuxième et le troisième trimestre, mais nous avons observé une baisse de l'usage quotidien, spécialement parmi les plus jeunes adolescents", a reconnu le directeur financier, David Ebersman, lors d'une téléconférence avec des analystes.
Une étude au début du mois de la banque d'affaire Piper Jaffray était déjà arrivée à la conclusion que le rival Twitter, qui s'apprête à faire ses premiers pas en Bourse, avait détrôné Facebook dans le coeur des adolescents américains: ils étaient désormais 26% à citer Twitter comme leur réseau social préféré contre 23% pour Facebook et sa filiale de partage de photos Instagram.

La Bourse accueille mal l'aveu

David Ebersman n'a pas donné de chiffre précis, soulignant le "manque de précision" des mesures, mais l'évolution est moins favorable que pour l'ensemble des usagers de Facebook: ils sont passés en trois mois de 1,15 à 1,19 milliard, et la part des plus engagés, qui visitent le site tous les jours, a progressé de 699 à 728 millions.
L'aveu de la désaffection des adolescents a douché l'enthousiasme des investisseurs dans les échanges électroniques suivant la clôture de la Bourse de New York: l'action Facebook perdait 0,71% à 48,66 dollars vers minuit 30, quand elle s'était envolée de plus de 10% immédiatement après la publication des résultats du troisième trimestre.

Nouveaux progrès dans le mobile

Ceux-ci montraient de nouveaux progrès dans le mobile, un segment clé pour Facebook: ce sont les inquiétudes sur sa capacité à rentabiliser les connexions de plus en plus nombreuses à son réseau depuis un smartphone qui avaient fait s'effondrer le cours de son action dans les mois suivant son introduction en Bourse en mai 2012. Elle n'avait réussi à retrouver son prix d'introduction que cet été.
"Nous avons atteint de nouveaux sommets pour une entreprise mobile", s'est félicité le PDG Mark Zuckerberg, soulignant que désormais près de la moitié de ses recettes publicitaires provenaient des connexions mobiles au réseau. Le taux a atteint 49% au troisième trimestre après 41% au deuxième, alors qu'il était nul début 2012.
Globalement tous les signaux financiers étaient au vert au troisième trimestre. Facebook a dégagé un bénéfice net de 425 millions de dollars, contre une perte de 59 millions un an auparavant. Le bénéfice par action hors exceptionnels, la référence aux Etats-Unis, a dépassé de 6 cents la prévision moyenne des analystes, à 25 cents. Le chiffre d'affaires, également meilleur que prévu, a bondi de 60% sur un an à 2 milliards de dollars, et les recettes publicitaires de 66% à 1,8 milliard de dollars.

La monétisation d'Instagram attendu

"Nos performances solides du trimestre valident le fait que notre stratégie publicitaire fonctionne", a affirmé la numéro deux de Facebook, Sheryl Sandberg. "Nous sommes au stade précoce d'une transition majeure dans la publicité, et nous sommes positionnés de manière unique pour capitaliser sur cette opportunité."
Facebook dit ne plus vouloir augmenter la part des publicités dans les fils d'actualités de ses membres, mais il veut désormais viser sur leur qualité et leur adéquation avec les intérêts des internautes qui les voient. A côté sur son propre réseau, il doit aussi commencer à monétiser les 150 millions d'utilisateurs d'Instagram, qui a annoncé au début du mois l'arrivée de ses premières annonces publicitaires d'ici quelques mois aux Etats-Unis.
La stratégie pourrait payer. La société spécialisée eMarketer estime que même s'il reste loin derrière Google, qui verrouille un tiers du marché mondial de la publicité numérique, Facebook devrait y porter sa part à 5,41% cette année, contre 4,11% en 2012, avec une progression encore plus rapide dans le mobile, où elle devrait passer de 5,35% à 15,8%.

Vidéo:


Panasonic ne produira plus d'écrans plasma dès 2014

Panasonic a fait savoir qu'il ne produirait plus d'écrans plasma à compter de la fin de l'année. Faute de demande, la firme ne parvient plus à rentabiliser la technologie.
Panasonic a annoncé sa décision de ne plus produire d'écrans plasma.
REUTERS/Yuriko Nakao
Pour Panasonic, le plasma c'est fini. Le géant de l'électronique a annoncé jeudi qu'il allait cesser de produire des écrans utilisant la technologie à compter de cette fin d'année, à cause d'une demande trop faible. Panasonic va par conséquent stopper définitivement les trois sites dédiés à Amagasaki (centre-ouest du Japon), dont deux avaient d'ailleurs déjà suspendu leurs lignes. L'information avait par ailleurs été relayée par la presse en mars dernier.
La firme avait pourtant investi des milliards dans des usines au Japon et en Chine, mais a subi un retournement du marché après la crise financière de 2008-2009, les écrans à cristaux liquides (LCD) prenant ensuite nettement le dessus. Le groupe n'avait pourtant cessé de démarrer de nouvelles usines en 2004, 2005 et 2007 avant de commencer à changer de braquet pour ralentir la fuite en avant, puis finalement de faire marche arrière à compter de 2011.

Une technologie pas suffisamment rentable

Dans le cadre d'une vaste restructuration, il avait déjà nettement réduit sa production de dalles plasma au Japon et stoppé celle en Chine au début 2013, annulant des projets antérieurs d'augmenter la cadence dans son usine de Shanghai où il a finalement arrêté la fabrication de ces écrans. Le groupe avait commencé en 2001 à produire des dalles plasma, une technologie qui présentait quelques avantages techniques sur le plan de la restitution de l'image dans les grandes dimensions, mais qui a été balayée par les modèles à cristaux liquides plus économes en électricité et dont les progrès ont été fulgurants.
A présent, Panasonic n'arrive plus du tout à rentabiliser sa production d'écrans plasma, qui occupent un créneau très minoritaire dans le marché mondial des téléviseurs.

PlayStation 4 : une FAQ et quelques mauvaises nouvelle

Alors que la sortie de la PS4 est attendue pour dans un mois en France, Sony a publié une très longue foire aux questions sur son site Internet afin de répondre aux attentes des futurs acheteurs.
A un mois de la sortie de la PS4 en France, il était temps pour Sony de faire le bilan sur sa prochaine console de salon. Au travers d’une longue série de questions-réponses, la firme japonaise précise ainsi de nombreux points sur la PlayStation 4, mais également sur la dualshock 4, les périphériques compatibles ou les abonnements PlayStation Plus. Outre les informations déjà connues comme la date de lancement ou le prix de la console à 400 euros avec une manette et un câble HDMI ou du PlayStation Camera à 50 euros, on apprend également des informations jusque-là inconnues.
Sony nous apprend ainsi que la PS4 proposera un disque dur interne de 500 Go de stockage qu’il sera possible de remplacer par un autre disque dur standard. La PlayStation 4 sera par ailleurs compatible avec des résolutions de 480p à 1080p. Malheureusement, Sony n’a pas encore prévu de permettre le streaming des films en 4K comme le propose le FMP-X1 de la firme nipponne. Cette possibilité reste tout de même à l’étude et les portes ne sont donc pas définitivement fermées. Toujours sur le plan des films, la PS4 nécessitera une mise à jour au moment du lancement et l’activation d’une option afin de permettre la lecture de films en Blu-Ray. Toutefois, la lecture de CD audio ou de fichiers MP3 n’est toutefois pas possible avec la console de Sony qui privilégie ainsi son offre de streaming Sony Music Unlimited. Enfin, la PS4 ne sera pas non plus compatible DLNA et ne permettra donc pas de lire des films stockés sur un PC connecté au même réseau local.

Au niveau du PlayStation Network, le système communautaire de Sony permettra d’ajouter jusqu’à 2000 amis, à comparer aux 100 contacts qu’il était possible d’ajouter sur PS3. Les jeux PS4 coûteront quant à eux le même prix que sur la génération actuelle, soit 70 euros pour les jeux vendus en version physique. Il pourrait également être techniquement possible, si les éditeurs en font le choix, de jouer en multijoueurs cross-plateforme entre la PS4 et la PS3. Par ailleurs, les jeux achetés en version dématérialisée sur PS Vita ou PS3 pourront également être téléchargés sur PS4 sans coût additionnel.
Concernant la Dualshock 4, la nouvelle manette de la PlayStation, Sony précise que jusqu’à quatre pourront être connectées en même temps à la console. Contrairement à la PS3, les manettes de la PS4 pourront également être chargées lorsque la console est en veille, à condition d’activer une option. Par ailleurs, Sony confirme que la Dualshock 4 pourra être utilisée sur un PC en USB mais ne précise pas si elle sera compatible avec la PS3. La Dualshock 3 ne pourra, quant à elle, pas être utilisée avec la PS4. Enfin, si le bouton dédié de la manette permettra de partager rapidement des captures d’écran ou du streaming live, les vidéos enregistrées ne pourront être partagées que sur Facebook. Sony précise néanmoins que d’autres services, comme YouTube, pourraient être disponibles après le lancement de la console.

La NSA intercepterait directement le trafic de Google et Yahoo

WEB - L'agence américaine se brancherait au niveau de la fibre optique connectant les data centers étrangers de ces entreprises au reste d'Internet pour copier les communications des utilisateurs...

Après Prism et XKeyscore, le dernier programme de surveillance du Web de la NSA s'appelle Muscular. Des trois, c'est le plus dérangeant car il serait mené par l'agence américaine sans aucune supervision de la justice.
Selon les révélations du Washington Post, basées sur une présentation PowerPoint de janvier 2013 fournie par Edward Snowden, la NSA, en collaboration avec le GCHQ, son homologue britannique, a réussi à intercepter directement les données de centaines de millions d'utilisateurs de Google et Yahoo. Les détails techniques sont flous, mais l'agence se servirait, à l'insu des entreprises californiennes, au niveau de plusieurs échangeurs situés à l'étranger, qui connectent leur «cloud» privé au reste d'Internet. Ils sont signalés par le smiley sur le schéma ci-dessus.
Rien que sur le mois de janvier, 181 millions de communications, américaines et étrangères, auraient été interceptées: en vrac, des métadonnées d'emails (adresse, date) mais aussi leur contenu (texte, audio, vidéo) ou encore des fichiers stockés en ligne. Si le trafic est souvent crypté, ce n'est pas le cas sur tous les points de leur réseau. En septembre, Google a toutefois opéré des modifications pour mieux protéger les données. Yahoo, de son côté, ne l'a pas encore fait.
Démenti vague de la NSA
Interrogé lors d'une conférence, mardi, le chef de l'agence, le général Keith Alexander, a répondu qu'à sa «connaissance, une telle activité n'a jamais eu lieu». Il jure que l'agence ne «s'introduit pas» dans les centres de stockage de données d'entreprises américaines car une telle activité serait «illégale».
Selon les détails fournis par le Washington Post, il semble toutefois que la NSA profite d'une zone grise juridique. Pour collecter des données dans le cadre de PRISM, l'agence doit obtenir un ordre d'un juge qui force les entreprises Web à fournir certaines données. Mais dans le cas de Muscular, parce que les communications sont interceptées à l'étranger, la NSA doit simplement respecter les règles d'un ordre exécutif sur lequel la justice ou le Congrès n'ont, dans la pratique, aucun droit de regard.
Google «scandalisé»
Du côté des principaux intéressés, Yahoo a offert des platitudes. «Nous avons mis en place des contrôles très stricts pour protéger la sécurité de nos centres d'hébergement de données et nous n'avons donné accès à ces centres ni à la NSA, ni à aucune autre agence gouvernementale», écrit le groupe.
Google, en revanche, se montre plus offensif. «Nous sommes préoccupés depuis longtemps par la possibilité de ce genre de surveillance. Nous sommes scandalisés par l'étendue de ces interceptions menées par le gouvernement à partir de nos propres réseaux privés de fibres (optiques), ce qui souligne le besoin d'une réforme urgente», dit son responsable juridique, David Drummond.
 P.B. avec AFP
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iPad Mini Retina : dispo le 21 novembre ?



Avant même d’être disponible dans le commerce, les stocks d’iPad Mini Retina sont sujets à caution. Après les inquiétudes d’un analyste de IHS, c’est le PDG d’Apple lui-même qui a indiqué qu’il est « difficile de savoir si nous en aurons assez ». La faute incomberait aux fournisseurs, qui rencontrent des problèmes de production avec la dalle Retina. Dans ces conditions, la société américaine s’est bien gardée de donner une date précise pour la commercialisation du nouveliPad Mini Retina.


Et pourtant, une date circule désormais sur la toile, grâce à la chaine de magasins américaineTarget, qui indique sur son site internet une disponibilité pour le 21 novembre. Une date de lancement ne rassure pas quant aux stocks qui seront accessibles au lancement, mais cela permet à ceux qui veulent à tout prix obtenir l’iPad Mini Retina au lancement de prévoir la date à laquelle ils installeront leurs campements devant les Apple Store.

N’oublions toutefois pas que la date n’a absolument pas été confirmée par Apple et qu’il n’est pas rare que des erreurs soient commises dans les fiches articles des vendeurs en ligne.

Prix de tablette:


Google Glass au volant... PV au tournant !


Le port des Google Glass au volant vient de générer une première amende aux États-Unis. Cecilia Abadie a été verbalisée hier à San Diego à cause des lunettes connectées qu'elle portait sur le nez. Aucune législation n'existant pour le moment à ce sujet, la conductrice conteste la contravention, vraisemblablement poussée par des grondements de la communauté Google Glass.
La loi californienne n'interdit pas spécifiquement Google Glass. Tous les moniteurs pouvant distraire le conducteur sont bannis, à l'exception des lecteurs MP3 et des GPS. Le code de la route californien n'a pas encore été modernisé pour prendre en compte les écrans tactiles équipant de nombreux modèles récents comme la Tesla S, qui propose même un navigateur Internet.

Abadie, elle, affirme que ses lunettes étaient en veille et plaidera sa cause devant un juge. Parmi la centaine de commentaires sur son compte Google+, une avocate californienne technophile propose déjà de l'aider. Google, de son côté, semble avoir anticipé le problème: la prochaine mise à jour de Glass disposera d'un mode «voiture» limité au GPS et aux appels en mains libres. Reste à savoir comment le policier pourra le vérifier.

C'est en postant la copie de son amende sur Google+ que Cecilia Abadie a déclenché la machine. Il s'agit d'une première concernant des lunettes connectées. Comme on peut le voir sur le papier jaune, elle a été verbalisée pour vitesse excessive et pour avoir "une conduite avec un moniteur visible par le conducteur." Bien qu'elle affirme qu'elles n'étaient pas actives, l'agent de police lui a martelé que "ça bloquait [son] champ de vision."



Le policier n'est pas en tort. Il n'a fait qu'appliquer la législation en vigueur en Californie. Celle-ci stipule qu'une "personne ne doit pas conduire un véhicule à moteur si un récepteur de télévision, un moniteur vidéo, un téléviseur ou un écran, ou tout autre moyen similaire de diffuser visuellement des images télévisées (...) fonctionne de façon visible pour le conducteur lorsqu'il conduit." Mais voilà, une exception est faite pour les GPS. Les Google Glass peuvent ainsi entrer dans cette catégorie, étant un appareil disposant d'un tel service.

La Xisai Xtal de Tokyoflash affiche l’heure en mode cryptique




Tokyoflash, plus connu pour ses montres atypiques, a depuis peu dévoilé son dernier-né. Sobrement baptisée Kisai Xtal, c’est un garde-temps tout bonnement porté sur la notion de design, en plus de son mode d’affichage énigmatique.
La Kisai Xtal est donc une montre en acier inoxydable qui arbore fièrement un boitier épais revêtu d’un cristal minéral fumé. Le tout est monté sur un bracelet finement brossé. A priori, lire l’heure d’un coup d’œil semble assez difficile pour les non initiés. Heureusement, la Kisai Xtal propose à l’utilisateur deux modes d’affichage. Le premier affiche l’heure dans une rangée de quatre chiffres LED de formes hexagonales. Le second, en mode cryptique, indique l’heure de manière mystérieuse à travers un code. Ainsi, l’affichage numérique se distingue par des chiffres dont la ligne médiane a été retirée. La montre propose également six modèles d’animation à son porteur. Celui-ci pourra l’activer/ désactiver dans les options de réglage. Rechargeable via USB, elle dispose d’une autonomie de deux mois sur une seule charge.
Disponible en noir ou en or avec un affichage LED décliné en rouge, vert ou bleu, la Kisai Xtal est proposé à moins de 140 dollars au lancement. Le prix va toutefois grimper à 170 dollars.
P.B.:
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Les Google Glass auront droit à des accessoires


Alors que le programme Explorer des Google Glass est toujours actif, le grand public doit encore patienter avoir de voir arriver les lunettes connectées dans le commerce. Mais visiblement, le chemin jusqu’aux nez des amateurs ne devrait plus être très long, puisque Google travaille déjà sur une ligne d’accessoires. Un PDF a été déniché par le site Android Headlines, détaillant chaque produit étudié pour les lunettes.


La description des différents accessoires est complète tandis que les prix y sont même renseignés. Question tarif, Google joue la carte du « tout à 50 $ », excepté pour une paire de verres de protection qui se fixe directement aux lunettes, facturé 75$. Détail intéressant, il est précisé dans la description que cet accessoire n’est compatible qu’avec les lunettes achetées après le 28 octobre. Une information qui confirme les nouvelles versions des Google Glass dont nous parlions hier, repérées par un visuel avant d'être confirmées par la firme californienne.

Pour le reste, c’est très conventionnel. On retrouve une oreillette « Extra Mono Earbud » aperçue sur le visuel des nouvelles Glass et disponible en quatre couleurs, qui vient se relier aux lunettes par le port micro USB. Ensuite, Google propose également un câble d’alimentation avec l’adaptateur secteur ainsi qu’une housse de protection pour ranger ses lunettes. La question intéressante, c’est de savoir si Google autorisera des accessoiristes spécialisés à créer des produits pour les Glass, au même titre que pour les smartphones et tablettes Nexus.



Sécurisez efficacement votre réseau Wi-Fi

Votre réseau Wi-Fi est-il sain et sauf à 100% ? En êtes-vous bien sûr ? Êtes-vous bien le seul à connaître sa clé de chiffrement ? D'autres PC sont-ils susceptibles de s'y connecter ? Avez-vous bien désactivé tous les services, comme le WPS ou le DHCP ? Car si quelqu'un parvenait à s'y introduire, nul doute qu'il pourrait monopoliser illégitimement votre bande passante, et surtout dérober vos précieuses informations. Imaginez qu'il arrive à mettre la main sur vos mots de passe, à lire vos emails et vos relevés bancaires, voire à effectuer des paiements à votre place. Pour éviter ce genre de gros désagrément, voici une série de conseils très rapides à mettre en place. De quoi repousser très efficacement les attaques des cyberdélinquants, qu'ils soient confirmés ou simples dilettantes.

mercredi 30 octobre 2013

Steve Jobs : c’est confirmé, sa maison est classée monument historique

La maison de Steve Jobs est un point important dans l’histoire d’Apple. Elle vient d’être classée monument historique.
La maison d’enfance de Steve Jobs est un lieu mythique pour tous les passionnés d’Apple. Le cofondateur de la marque a donné naissance à cette société dans le garage de ses parents en compagnie de Steve Wozniak. Dans cette bâtisse, ce sont les premiers ordinateurs qui ont vu le jour. Ces derniers vendus 500 dollars ont été commercialisés plusieurs années plus tard dans des enchères à plus de 231 000 dollars. Depuis, l’entreprise a bien grandi et a enchaîné les sorties entre les ordinateurs, les Smartphones, les baladeurs, les tablettes… La rumeur concernant ce classement circulait depuis plusieurs semaines, mais les membres de la commission de la ville de Los Altos en Californie viennent de confirmer cette distinction.

Un lieu mythique pour Apple

Cette maison qui a servi de décor pour le film Jobs appartient désormais à la sœur de Steve Jobs. Cette construction date de 1951 et possède un design assez atypique avec un style se rapprochant du ranch. L’histoire d’Apple a donc commencé entre ces murs, huit ans après l’arrivée de toute la famille. Les premiers investisseurs venaient frapper à cette porte et l’Apple Computer Co était fondée en septembre 1976. Lorsque le succès a été au rendez-vous, la société s’est enrichie et la firme a investi Cupertino. Aujourd’hui, la maison est estimée à 1.5 million de dollars et bénéficie du statut de monument historique.

Le statut de monument historique

Depuis l’emménagement de la famille, les lieux n’ont pas changé mis à part la porte qui a été remplacée. La commission a pris le temps pour prendre sa décision, car le dossier a été étudié pendant deux ans. Il fallait que certains critères soient remplis pour que le statut soit donné. Ainsi, la bâtisse devait être associée à la vie de plusieurs personnes résidant dans les environs. La contribution de cette maison sur l’histoire locale ou régionale devait être importante.

Source : Mercury News

Snapchat : valorisée à 4 milliards de dollars, elle prépare une levée de fonds

Snapchat est une start-up très prisée par les amateurs de photos. Une importante levée de fonds aura lieu.
Snapchat est une application mobile dédiée aux photos, mais elle est insolite. Elle se démarque donc de Facebook ou encore Instagram notamment dans le partage. Ce dernier est différent puisque vous envoyez le cliché à quelques contacts comme pour un texto. 10 secondes maximum après la réception, le cliché s’autodétruit. L’engouement a donc été important et depuis sa création en 2011, la valorisation a augmenté puisqu’elle est désormais de 4 milliards de dollars, soit 2.9 milliards d’euros. Les jeunes sont les principaux utilisateurs, car ils apprécient la méthode et ne sont pas contraints de jongler avec les paramètres de confidentialité.

Une nouvelle levée de fonds

Le succès est présent aux États-Unis, mais également en France. L’application Snapchat figure parmi les 10 applications gratuites les plus prisées sur iOS et Android. Le nombre de photos a donc augmenté depuis l’année dernière puisque le chiffre a été multiplié par 7. Cette start-up a encore un bel avenir devant elle, car une nouvelle levée de fonds est organisée. Snapchat devrait donc obtenir dans les prochains jours près de 200 millions de dollars, soit 145 millions d’euros. L’application bénéficie par conséquent d’un certain poids dans le secteur du mobile, ce qui attire les investisseurs ou les éventuels acquéreurs.

Comment gagner de l’argent avec Snapchat ?

Selon les rumeurs de ces derniers jours,Facebook aurait fait une offre à 1 milliard de dollars, mais Snapchat aurait refusé. Par contre, l’application créée par Evan Spiegel ne génère aucun revenu, mais le jeune cofondateur pense déjà à un modèle économique puisqu’il s’est rapproché de CBS Mobile. Toutefois, c’est un véritable défi, car la monétisation de l’application s’avère complexe. Comme les photos sont éphémères, il est difficile d’attirer l’attention des marques. Une piste serait toutefois envisagée, il s’agirait de la vente d’options payantes.
Source : AllThingsD